Le premier tatouage d’une femme s’avère être un échec car elle se fait accidentellement tatouer un mème dégoûtant sur elle

Se faire tatouer est un grand engagement. À moins que vous ne soyez prêt à affronter la douleur du regret, de l’embarras, du retrait au laser ou d’un deuxième tatouage dissimulé, il est sage de bien réfléchir avant de tatouer quoi que ce soit sur votre peau. Si vous envisagez de vous faire tatouer des mots étrangers sur votre corps, nous ne saurions trop insister sur l’importance de vous assurer que vous savez exactement ce qu’ils signifient.

Une femme a appris à ses dépens lorsqu’elle s’est fait tatouer pour la première fois. Il avait choisi une citation inspirante, écrite en arabe. C’est du moins ce qu’elle pensait. À sa grande horreur, il a vite découvert que le tatouage « se traduit par quelque chose d’horrible ». Le tatoueur de la femme a expliqué en ligne comment il avait accepté de couvrir le client. Mais ils ne sont pas d’accord sur la question de savoir s’ils doivent collecter ou non, car l’erreur n’est pas entièrement de leur faute. panda qui s’ennuie Il s’est approché de l’artiste et lui a demandé de partager plus de détails. Nous avons également parlé à la psychothérapeute Anna Mathur pour voir si elle avait des conseils à donner au tatoueur.

La cliente était ravie de se faire tatouer pour la première fois et a décidé d’opter pour un dessin populaire qu’elle avait trouvé en ligne.

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Ce qui était censé être une œuvre d’art corporel s’est transformé en un désastre embarrassant, une fois que la cliente a découvert ce que signifiait réellement son tatouage.

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« Je suis pourri » : l’artiste révèle le vrai sens du tatouage

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Bored Panda souhaitait en savoir un peu plus sur le tatouage en question, nous avons donc interrogé l’artiste. « C’était en fait un mème de 2016 qui était devenu viral à l’époque sur Tumblr, et les gens ont commencé à le tatouer sans avoir la moindre idée de son origine, tout comme nous. « Le format ressemble tellement à celui de Pinterest que j’ai pensé que c’était juste une autre citation inspirante », a-t-il déclaré. Le client et l’artiste pensaient que cela signifiait « apprécier la vie ».

Toujours curieux de connaître le tatouage « dégoûtant » et « horrible », nous avons demandé à quoi se traduisait réellement la citation arabe. « Le tatouage disait en fait ‘Je suis pourri’. Après avoir fait plus de recherches, j’ai malheureusement également vu de nombreuses photos de personnes en ligne avec ce tatouage encré », a déclaré l’artiste à Bored Panda.

Le tatoueur nous a dit qu’il avait pris la décision finale de ne rien facturer au client. « J’ai pris en compte les commentaires qui disaient que je devais vous facturer uniquement mes fournitures. Mais en raison d’une mauvaise communication, j’ai découvert que mon offre semblait par inadvertance gratuite par SMS », a-t-il déclaré.

Il a expliqué qu’il avait proposé au client de travailler sur une dissimulation, mais qu’il n’avait pas mentionné le prix assez tôt après. Et il estimait qu’il était trop tard pour évoquer le coût. L’artiste a ajouté qu’elle avait également réalisé son rôle dans cette erreur. « Je ne lui ai pas demandé de signer une renonciation disant que je ne suis pas responsable de choses comme celle-ci, ce qui était une erreur de ma part », a-t-il déclaré.

« Il y a une différence entre la responsabilité juridique et le sens de la responsabilité éthique » : selon un expert

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Anna Mathur est psychothérapeute et auteure. Elle a gentiment accepté de nous donner son avis sur la situation. Nous expliquons que l’artiste est aux prises avec un sentiment de culpabilité et se sent coupable. Bored Panda a demandé à Mathur quels conseils il donnerait à l’artiste.

« Le tatoueur est relativement nouveau dans ce métier et ces apprentissages s’acquièrent souvent en faisant des erreurs ou en entendant des histoires où d’autres ont commis certaines erreurs. « Si une conception est approuvée par le client, il est alors réellement de la responsabilité du client de s’assurer qu’il est sûr de ce qu’il demande », a déclaré l’expert.

Mathur a ajouté que le tatoueur devrait se demander s’il a fait quelque chose de mal en ce qui concerne les meilleures pratiques. « Il y a une différence entre la responsabilité juridique et le sens de la responsabilité éthique. L’artiste peut accepter d’y aller moitié-moitié parce qu’il se sent responsable.

« C’est vraiment une zone grise », a déclaré Mathur. « C’est pourquoi cela a provoqué une telle réaction. Chacun voit le scénario à travers ses propres lentilles de compréhension et de morale. « La « bonne » chose à faire est d’agir d’une manière qui honore vos valeurs et respecte l’autre personne, plutôt que d’agir sur quelque chose parce que vous sentez que vous « devriez le faire ». »

« Parfois, nous devons choisir de manière proactive d’arrêter de nous sentir coupable une fois que les choses ont été résolues », a conseillé Mathur. « Nous apprenons de nos propres erreurs et de nos défauts, et cette expérience ne fera que faire de vous un tatoueur plus consciencieux. »

Dans un rebondissement, le client a finalement décidé de garder le tatouage, et voici pourquoi…

L’artiste a déclaré qu’elle était prête pour le rendez-vous et qu’elle avait accepté de ne pas être payée. Mais deux jours avant l’arrivée prévue du client, ils ont envoyé un SMS indiquant qu’ils souhaitaient annuler. « Son raisonnement était que le tatouage original est charmant à sa manière et constitue un souvenir précieux pour elle », a déclaré l’artiste à Bored Panda.

Mais il s’avère que ce n’est peut-être pas la véritable raison. « Plus tard, j’ai découvert grâce à des relations partagées qu’elle n’était vraiment pas préparée à la douleur qui accompagne un tatouage, encore une fois, ce qui est tout à fait valable », a révélé l’artiste. « Cependant, j’avoue que j’ai été un peu déçu, car j’ai dessiné quatre modèles de camouflage avant qu’elle n’en accepte un, ce qui a pris beaucoup de temps. »

«Je me sens encore un peu mal parce que cette fille doit se promener avec ça sur son corps et j’ai un sentiment d’impuissance parce que je n’arrive pas à réparer ça. Mais c’est elle qui connaît mieux son corps et je respecte sa décision », a-t-il ajouté. « Je suis content que cela n’ait pas terni ma carrière et que nous ayons fini en bons termes car la réputation est primordiale pour un tatoueur débutant. »

Le tatoueur a déclaré que des misogynes apparaissaient dans certains commentaires

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« Bien sûr, il y avait la misogynie habituelle qui accompagne le fait de mentionner « elle » ou « elle ». «J’aurais dû utiliser des pronoms neutres», a déclaré l’artiste. «Il y a eu des commentaires qui ignoraient complètement le texte, et se contentaient de dire et d’exagérer que cette femme avait pris une mauvaise décision. « Je n’ai même pas besoin d’expliquer pourquoi le genre n’est pas pertinent ici. » Cependant, elle a dit qu’elle n’était pas trop surprise « parce que je suis moi-même une femme ».

« Ce qui m’a surpris, cependant, c’est le nombre de personnes qui pensaient que j’étais un homme ! » il a ajouté. « Cela m’a rappelé que même si l’industrie du tatouage s’est beaucoup développée en termes d’inclusivité, certaines personnes la considèrent toujours comme un domaine dominé par les hommes. »

L’artiste dit que l’expérience l’a marquée

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Nous lui avons demandé comment cette expérience l’avait affectée personnellement. « Je me souviens de souvenirs de guerre chaque fois que quelqu’un me demande un tatouage dans une langue étrangère », a-t-il déclaré. « Mes amis tatoueurs ont aussi trouvé cet événement très drôle et ont beaucoup ri, mais j’ai toujours été plus sensible. « Alors ça m’a marqué. »

La tatoueuse dit qu’elle aurait aimé éviter toute la situation, mais a ajouté qu’elle avait tiré de précieuses leçons de toute cette expérience. «Lorsque vous commencez à tatouer tous les jours, vous cessez d’avoir cette anxiété que vous aviez lorsque vous avez commencé. L’inquiétude écrasante de ruiner le corps de quelqu’un pour toujours, ce qui vous rend extrêmement prudent sur tous les aspects. Vous commencez à manquer des choses, comme dans ce cas, revérifier une traduction apportée par le client », a-t-il expliqué. « Je pense que la plupart d’entre nous commencent à ressentir ce sentiment de pilote automatique après un certain temps dans notre travail. Cela m’a réveillé et m’a fait revenir à l’état d’alerte que j’avais au début.

Elle a déclaré à Bored Panda qu’elle avait apporté quelques changements à la façon dont elle gère son entreprise. «J’ai proposé des renonciations, des termes et conditions que chaque client doit depuis lire et signer. C’était obligatoire, mais apparemment, mon mentor ne me l’a pas dit et j’ai dû me renseigner sur Reddit.

Le tatoueur a ce message pour tous ceux qui souhaitent se faire tatouer : « Veuillez effectuer une « recherche d’images inversée » sur Google ou utiliser Google Lens sur vos photos de référence avant de les avoir sur votre corps pour toujours ! Vérifiez tout. C’est votre seul corps, ayez du respect pour lui !

De nombreux internautes ont estimé que le tatoueur n’était pas à blâmer et ont donné quelques conseils pour éviter une situation similaire à l’avenir.

Certains pensaient qu’ils avaient tous deux tort et que l’artiste avait la responsabilité de vérifier la traduction.

Certaines personnes pensaient que le tatoueur et le client pouvaient parvenir à un compromis raisonnable.

Le premier tatouage d’une femme s’avère être un échec car elle obtient accidentellement un tatouage grossier apparaît en premier sur Bored Panda.